“A Charlotte, j’ai pleuré avant le match”
Dans En Aparté de Canal +, Nicholas Batum revient sur les moments difficiles qu’il a traversés à Charlotte, liés à la mort de son père et du sien alors qu’il était très jeune.
Voici un Nicolas Batum émouvant dans l’émission En Aparté canaliser+ cette semaine. Si le joueur des Los Angeles Clippers évoque son come-back légendaire contre la Slovénie en demi-finale des JO de Tokyo, les JO de Paris 2024 ou encore son amour pour Michael Jordan, il revient aussi sur le drame de sa vie, la mort de son père en 1991 25 ans après une rupture d’anévrisme. et ses conséquences, quand il est devenu père. “Mon père est mort sur le terrain de basket quand j’avais deux ans et demi. J’étais dans les tribunes avec ma mère, et je me souviens encore de cet incident, avec quelques flashs. (…) Après être devenu moi-même père en 2016, “Le sujet était très difficile à trouver. C’était compliqué pour moi la première année. J’ai vécu un petit enfer jusqu’à ce que mon fils ait 3 ans. Même pour jouer, c’était un travail difficile.” Quand je suis allé au match, je pensais que je ne reviendrais pasJe pensais que la même chose allait m’arriver et je les quittais. Parfois, je dis à ma femme de ne pas venir aux matchs parce que je ne veux pas les voir dans les gradins. Je fais une parodie et c’est très difficile pour moi psychologiquement. Je ne le dis pas forcément partout, mais jusqu’à ses 3 ans, c’était très, très difficile. Cela s’est produit presque simultanément avec mes années difficiles à Charlotte. J’avoue que j’étais en larmes à la maison avant d’aller à certains matchs et je pensais que je ne reviendrais pas. »
Batum : “Je suis heureux d’être la personne qui me manque le plus”
Avec Nicolas Batum portant un maillot de Charlotte d’octobre 2015 à novembre 2020, l’aventure des Hornets s’est terminée, qui s’est avérée désastreuse puisqu’il a été viré par l’entraîneur à la fin de la saison 2019-20 (arrêtée pour cause de Covid-19), et a été finalement supprimée en novembre. Désormais à Los Angeles, Nicolas Batum vit sur et en dehors du terrain et profite de ses deux enfants (Nayeri, né en janvier 2021), jouant notamment avec son fils aîné au basket. “Mon fils adore le basket et je suis si heureux de partager ça avec lui. Je dis toujours, je suis heureux d’être la personne qui me manque le plus. Moi, quand je joue avec mon petit panier à la maison, je suis seul, mon père n’est pas avec moi, joue, risLittle Aiden suivra-t-il les traces de son père ? Rendez-vous dans quelques années…
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